Dans cette période de turbulence, Cyril Hanouna et son panel de chroniqueurs s’engagent dans des discussions sur divers thèmes, y compris les affaires politiques actuelles. Ce jeudi 18 avril 2024, l’émission se concentre sur un conflit récent impliquant Emmanuel Macron et un citoyen nommé Marc Doyer.
Pour fournir un contexte détaillé à cette controverse, Cyril Hanouna, l’animateur de « Touche pas à mon poste », invite Béatrice Rosen, journaliste, chroniqueuse et actrice, qui a approfondi le sujet. Toutefois, durant son intervention, l’invitée partage une révélation personnelle concernant le président, ajoutant ainsi un nouvel élément au débat.
Dans l’épisode du jeudi 18 avril 2024 de « Touche pas à mon poste »
Cyril Hanouna aborde un thème controversé qui anime le débat parmi les chroniqueurs : Marc Doyer, un activiste anti-vaccin et fervent critique du gouvernement. La discussion se focalise sur des enjeux mêlant justice et politique, incitant ainsi les participants du plateau à partager leurs points de vue.
D’après les détails révélés par Béatrice Rosen et d’autres journalistes présents, Marc Doyer a été arrêté suite à un message menaçant adressé au président Emmanuel Macron, laissé sur une ligne téléphonique jugée confidentielle. Cette révélation soulève une question cruciale chez l’animateur Cyril Hanouna : comment Marc Doyer a-t-il accédé à ces informations sensibles?
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Lors de l’émission « Touche pas à mon poste » sur C8, diffusée en semaine vers 19h40
Cyril Hanouna exploite l’expertise de Béatrice Rosen pour éclaircir un sujet brûlant. La discussion se porte sur la manière dont Marc Doyer, un militant critique, a obtenu le numéro de téléphone personnel du président pour lui laisser un message vocal.
Béatrice commence par clarifier que le numéro n’a pas été obtenu illicitement, en disant : « Ce numéro n’a pas été volé. » Elle révèle ensuite que Marc Doyer avait été activement impliqué dans le mouvement En Marche en 2017. C’est durant son mandat au bureau départemental du mouvement qu’il a accédé à ce qui était à l’époque le numéro personnel d’Emmanuel Macron, facilitant ainsi son geste controversé.
