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Yann Barthès coupe court à une chronique dans Quotidien

Lors de l’épisode diffusé le 3 mai 2024 de l’émission Quotidien, Yann Barthès a surpris les téléspectateurs avec une réaction inattendue. Alors qu’un des chroniqueurs intervenait sur un sujet, Barthès a pris l’initiative d’interrompre pour annoncer une pause publicitaire, apportant ainsi une rupture imprévue dans le déroulement habituel du programme.

Quotidien

Dans cette édition de Quotidien, les sujets abordés ont oscillé entre politique et société, avec l’apparition de nouveaux intervenants sur le plateau de ce talk-show emblématique de TMC.

Parmi les invités de cette soirée, Maïtena Biraben, journaliste renommée, a apporté son expertise aux discussions en cours. De plus, la chanteuse Eva a illuminé la scène avec une prestation live, profitant de l’occasion pour promouvoir son dernier single auprès du public fidèle de l’émission sur TMC.

Une anecdote peu conventionnelle a égayé le début de la première partie de l’émission « Quotidien »

C’est au sein du segment animé par Julien Bellver, « 19 : 30 medias », réputé pour son traitement approfondi des sujets politiques, que cette information a été révélée. Il s’agit de l’inquiétude exprimée par des journalistes argentins concernant la santé mentale de leur président, Javier Milei, qui entretient une relation particulière avec ses chiens, ses fidèles compagnons présents à ses côtés en permanence.

Lors d’une conférence de presse, des journalistes ont interrogé Manuel Adomi, le porte-parole du chef de l’État argentin, sur le nombre exact de chiens que possède le président. La réponse du porte-parole a suscité l’étonnement : « Je ne saisis pas l’importance de cette question. En quoi le fait que le président ait quatre, cinq chiens ou quarante-trois lapins est-il pertinent ? Si le président affirme qu’ils sont cinq, alors ils sont cinq, point final », a-t-il répliqué.

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Yann Barthès a pris une tangente inattendue en interrompant son chroniqueur au milieu de son récit

Alors que ce dernier abordait l’étrange fascination des médias argentins pour « le mystère des chiens du président », Barthès, d’abord patient, a rapidement exprimé son désintérêt pour le sujet.

« Mais sérieusement, pourquoi on accorde autant d’importance à ça ? Qu’ils soient quatre ou cinq, quelle différence ça fait ? » a-t-il ironiquement commenté. Malgré les tentatives de son chroniqueur pour approfondir le sujet, Barthès a tranché : « On peut passer à autre chose, non ? »

Cette interruption abrupte a marqué le début d’une pause publicitaire, ajoutant une touche d’originalité à la chronique du jour.

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